Valeur économique des récifs coralliens et écosystèmes associés de Nouvelle-Calédonie Partie I : Valeur financière
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Description
La valeur financière totale des services générés par les écosystèmes coralliens et écosystèmes associés (mangroves, herbiers et fonds meubles) de la Nouvelle‐Calédonie est présentée.
La Nouvelle‐Calédonie représente un contexte socio‐écologique et économique très spécifique. Elle dispose de complexes récifaux importants (plus de 4.500km2 de récifs et 20.000km2 environ de zones lagonaires) avec une densité de population réduite (245.000 habitants). Les relations homme‐récif et les usages qui en sont faits sont contrastés entre les différentes cultures présentes. De même, une économie basée sur les services et le nickel générant un fort pouvoir d’achat à une partie de la population coexiste avec une économie non‐marchande basée sur l’agriculture et la pêche vivrière.
L’étude couvre les principaux services écosystemiques: (i) la pêche (commerciale, de loisir, vivrière, hauturière et aquaculture), (ii) le tourisme (sous‐marin, nautique et plaisance), (iii) la protection contre la houle, (iv) la bio‐prospection et, (v) la recherche & éducation.
L’étude s’est centrée sur l’estimation des flux financiers réels ou potentiels générés par les services écosystémiques dans l’économie de la Nouvelle‐Calédonie.
La Nouvelle‐Calédonie représente un contexte socio‐écologique et économique très spécifique. Elle dispose de complexes récifaux importants (plus de 4.500km2 de récifs et 20.000km2 environ de zones lagonaires) avec une densité de population réduite (245.000 habitants). Les relations homme‐récif et les usages qui en sont faits sont contrastés entre les différentes cultures présentes. De même, une économie basée sur les services et le nickel générant un fort pouvoir d’achat à une partie de la population coexiste avec une économie non‐marchande basée sur l’agriculture et la pêche vivrière.
L’étude couvre les principaux services écosystemiques: (i) la pêche (commerciale, de loisir, vivrière, hauturière et aquaculture), (ii) le tourisme (sous‐marin, nautique et plaisance), (iii) la protection contre la houle, (iv) la bio‐prospection et, (v) la recherche & éducation.
L’étude s’est centrée sur l’estimation des flux financiers réels ou potentiels générés par les services écosystémiques dans l’économie de la Nouvelle‐Calédonie.
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Date
Format
pdf
Langue
français
Couverture géo.
Citer ce document
Pascal Nicolas, “Valeur économique des récifs coralliens et écosystèmes associés de Nouvelle-Calédonie Partie I : Valeur financière,” Documentation Ifrecor, consulté le 17 janvier 2025, http://www.ifrecor-doc.fr/items/show/1420.